Le Loup, La Fontaine et nous

Publié le par Entre Semnoz et Chéran

Le Loup, La Fontaine et Nous.

 

Dans le cadre de l’année du loup ; un petit jeu entre nous….

Retrouvez, dans la colonne de droite, le titre de la fable  dont la morale/citation se trouve dans la colonne de gauche

 

Citation / morale de la fable :

 Son titre :

  1. La raison du plus fort est toujours la meilleure ;

           Nous l’allons montrer tout à l’heure.                           

 

  1. Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre ;

Quiconque est loup agisse en loup ;

C’est le plus certain de beaucoup.

 

  1. ....,le Loup n’a tort

Que quand il n’est pas le plus fort :

Voulez-vous qu’il vive en ermite ?

 

  1. Je reviens à mon texte. Il faut que l’on jouisse ;

Témoins ces deux gloutons punis d’un sort commun

     La convoitise perdit l’un ;

    L’autre périt par l’avarice.

 

  1. Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas

Où vous voulez ?--Pas toujours : mais qu’importe !

« Il importe si bien, que de tous vos repas

Je ne veux en aucune sorte,

Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor »

Cela dit, maître Loup s’enfuit et court encor.

 

  1. Je fis voir que lâcher ce qu’on a dans la main,

Sans espoir de grosse aventure,

Est imprudence toute pure ?

Le pêcheur eut raison ; Carpillon n’eut pas  tort :       Chacun dit ce qu’il peut pour défendre sa vie.

     Maintenant il faut que j’appuie

    Ce que j’avançais lors, de quelque trait encor.

 

  1. Quoi ! ce n’est pas encor beaucoup

D’avoir de mon gosier retiré votre cou !

Allez vous êtes une ingrate :

Ne tombez jamais sous ma patte.

 

  1. Deux sûretés valent mieux qu’une

Et le trop en cela ne fut jamais perdu.

 

  1. Et ce dicton picard à l’entour fut écrit :

« Biaux chires leups, n’écoutez mie

Mère tenchent chen fieux qui crie »

 

  1. Le juge, instruit de leur malice,

Leur dit : « je vous connais de longtemps, mes amis.

Et tous deux paierez l’amende :

Car toi, Loup, tu te plains, quoique on ne t’ait rien pris ;

Et toi,..........., as pris ce que l’autre te demande »

 

  1. Ne nous en moquons point : nous nous laissons séduire

Sur aussi peu de fondement,

Et chacun croit fort aisément

Ce qu’il craint et ce qu’il désire.

 

  1. Que sert-il qu’on se contrefasse ?

Prétendre ainsi changer est une illusion ;

L’on reprend sa première trace

A la première occasion.

 

  1. Nous pouvons conclure de là

Qu’il faut faire aux méchants guerre continuelle,

La paix est fort bonne de soi,

J’en conviens ; mais de quoi sert-elle

Avec des ennemis sans foi ?

 

  1. C’est bien fait, dit le Loup en soi-même fort triste :

Chacun à son métier doit toujours s’attacher.

Tu veux faire ici l’herboriste

Et ne fus jamais que boucher.

 

  1. « Frère, dit le Renard, ceci nous justifie

Ce que m’ont dit des gens d’esprit ;

Cet animal vous a sur la mâchoire écrit

Que de tout inconnu le Sage se méfie ».

 

  1. Messieurs les Courtisans cessez de vous détruire ;

Faites si vous pouvez votre cour sans nuire ;

Le mal se rend chez vous au quadruple du bien ;

Les daubeurs ont leur tour d’une ou d’autre manière :

       Vous êtes dans une carrière

       Où l’on ne se pardonne rien.

a : le Loup et l’Agneau

 

 

 

b : le Loup et les Bergers

 

 

 

c : le Loup et le Chien

 

 

 

d : le Loup devenu Berger

 

 

 

e : le Loup et le Chasseur

 

 

 

 

f : le Loup et  le Chien maigre

 

 

 

 

g : le Loup, la Mère et l’enfant

 

 

 

 

h : le Loup, la Chèvre et le Chevreau

 

 

i : le Loup plaidant contre le Renard par devant le Singe

 

 

j : le Loup et la Cigogne

 

 

 

 

 

k : le Loup et les Brebis

 

 

 

 

l : le Cheval et le loup

 

 

 

m : le Loup et le Renard

 

 

n : le Renard, le Loup et le cheval

 

 

 

o : le Loup et le Renard (2)

 

 

 

p : le Lion, le Loup et le Renard

 

 

Publié dans Faune

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